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10 ans de Friends, l'encyclopédie exhaustive de la série culte. 466 pages.
   
 
Scripts VF saison 3

Scripts saison 3 V.F.
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Liste épisodes

 
 
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    Script Saison 3 Episode 5

Générique

Titre US : The One With Frank Jr.
Titre FR : Celui qui bricolait

Écrit par Shana Goldberg-Meehan et Scott Silveri
Réalisé par Steve Zuckerman
Transcrit par Eric Aasen
Traduit par Isabelle Juhasz

Fiche détaillée et photos - Titres Saison 3 - Résumé de l'épisode - Script en anglais

Script V.F.

[Scène : chez Chandler et Joey, Joey bricole et l’appartement en est désordre]

Chandler : Salut !

Joey : Salut !

Chandler : Qu’est-ce qui t’est arrivé ? Une forêt t’a énervé ?

Joey : Depuis le temps qu’on voulait un endroit pour le courrier.

Chandler : Oui ? (ne comprend pas)

Joey : J’ai commencé à en construire un... et j’ai décidé de faire les choses en grand.

Chandler : Tu construis une poste ?

Joey : Un meuble à casiers avec un cube pour le courrier. Ça me prendra un jour, maximum.

Chandler : La vache ! T’as un pantalon bien moulant.

Joey : Un vieux pantalon de travail. Sergio Valente !

(Chandler se dirige vers sa chambre et ouvre la porte, mais la porte est coupée en deux, donc forcément : il tombe de l’autre coté)

Joey : La scie électrique m’a échappée des mains.

Générique de début

[Scène : devant Central Perk, Phoebe attend après son frère, une tasse à la main et fait les 100 pas]

Rachel : (sors du café) Salut !

Phoebe : Salut !

Rachel : Ton frère est arrivé ?

Phoebe : Il est toujours en retard.

Rachel : Tu l’as vu qu’une fois !

Phoebe : C’est vrai. Je parle comme une grande sœur : « Frank est toujours en retard ».

Rachel : Ne t’inquiète pas : il va arriver.

Phoebe : Je suis un peu anxieuse. C’est genre : « maman est morte, je ne parle pas à ma sœur... grand-mère dort beaucoup ces temps-ci... ». C’est ma dernière chance d’avoir une famille : tu vois ? Tu es gentille d’attendre.

Rachel : Gunther ne veut pas qu’on boive dehors. (reprend la tasse et entre à l’intérieur du café)

[Scène : Central Perk, à l’intérieur]

Chandler : Vous trouvez David Copperfield mignon ?

Monica : Non, mais lui te trouve canon.

Chandler : Janice l’aime bien : elle l’aime tellement qu’elle l’a mis sur sa liste d’extras.

Joey : Sa quoi ?

Chandler : On a décidé de choisir cinq célébrités avec qui on aimerait coucher... sans que l’autre se fâche.

Ross : L’essence même de toute histoire d’amour saine : honnêteté, respect et sexe avec des célébrités.

Monica : Qui as-tu mis sur ta liste ?

Chandler : Kim Basinger... Cindy Crawford, Halle Berry... (s’adresse à Joey) Yasmine Bleeth.

Joey : Riens que ça !

Chandler : Et... Jessica Rabbit.

Rachel : C’est un personnage animé au-dessus de tes moyens !

Chandler : J’aimerais arriver à lui faire sortir les yeux de la tête.

Joey : (s’adresse à Monica) Tu mettrais qui sur ta liste ?

Monica : Il me faut un mec, avant de faire une liste.

Joey : Ce n’est qu’un jeu. Et toi, Rachel ?

Rachel : Je sais pas. Certainement Chris O’Donnell, John Kennedy Jr... Daniel Day-Lewis, Sting et Parker Stevenson.

Ross : Celui qui fait Spiderman ?

Rachel : Non, Hardy Boy.

Chandler : Peter Parker.

Ross : Merci.

Rachel : (s’adresse à Ross) Et toi, chéri, tu mettrais qui sur ta liste ?

Ross : Ce genre de petit exercice demande mûre réflexion. D’abord, je classerais mes candidates éventuelles en catégories...

Chandler : (tousse) T’es vraiment tordu !

Phoebe : (entre dans le café) Hé les copains, voilà Frank ! C’est mon demi-frère. Voilà mes copains ! (Phoebe fait les présentations et Franck est plus intéressé par Monica et Rachel) Bon, je vais chercher des cafés.

Frank : Et vous faites quoi, à part ça ?

Chandler : Pas grand-chose...

Rachel : Vous avez des choses prévues ?

Phoebe : On va communiquer, tisser des liens.

Frank : J’aimerais aller à Times Square acheter des étoiles de Ninja et mon copain Larry voudrait que je prenne la photo d’une pute.

Chandler : On profite pas assez de la vie à New York.

Joey : Je te l’ai toujours dit !

[Scène : chez Chandler et Joey, Joey fait un trou dans le mur, mais perce près de la tête de Chandler. Chandler sort de sa chambre et parle à Joey]

Joey : Pardon. Je t’ai touché ?

Chandler : Non, tu m’as pas touché. C’est une perceuse ! Si tu m’avais touché, je serais mort !

Joey : Du calme ! Tu veux ce meuble ou non ?

Chandler : Non, j’en veux pas.

Joey : Tu aurais dû le dire avant : je suis pas devin. (tape Chandler sur son tête avec son crayon) On n’a plus de bières, je vais chez Monica.

Chandler : Très bien. (retourne dans sa chambre, ferme la première moitié de sa porte, puis l’autre)

[Scène : chez Monica et Rachel, Joey entre dans l’appartement]

Monica : Tu vas où avec ce pantalon ? En 1982 ?

Joey : (prend une bière dans le frigo) Monica, écoute ça... Au magasin d’à côté, j’ai vu du carrelage en solde... pour le sol de ta salle de bains.

Monica : Qu’est-ce qu’il a, mon sol ?

Joey : Rien : il est simplement vieux et miteux, c’est tout.

Monica : Ca m’étonnerait !

(ils vont ensemble dans la salle de bains)

Joey : Enlève le poubelle... tu verras la couleur d’avant.

Monica : (choquée) Je peux pas vivre comme ça : que va-t-on faire ?

Joey : Du calme. Tiens-moi ça. (lui donne sa bière) Ce truc s’enlève tout seul : tu vas voir. (il se penche pour essayer de retirer un morceau de carrelage, mais avec son pantalon, Monica voit plus qu’il n’en faut)

Monica : Je voulais pas tant en voir.

Joey : (enlève un morceau de carrelage en plein milieu de la salle de bains) Regarde ! C’est collé au millimètre près : ça prendra des heures à arracher. Tu devrais le laisser comme ça. (commence à partir, mais Monica le suit)

Monica : C’est impossible : tu as creusé un trou dans mon sol miteux.

(Joey met la brosse pour les toilettes à la place du trou)

Joey : Et voilà !

Monica : C’est génial ! On le remettra quand les chirurgiens te l’enlèveront du côlon.

[Scène : chez Phoebe, Frank et elle sont assis sur le sofa et ont l’air de s’ennuyer]

Phoebe : (a une idée soudaine) Oh !

Frank : Quoi ?

Phoebe : Je voulais te demander un truc : tu sais rouler ta langue ? Moi, je sais le faire, mais ma mère ne savait pas. C’est sûrement un truc que j’ai hérité de notre père.

Frank : Tu veux dire, comme ça ? (il le fait)

Phoebe : Toi aussi, tu sais le faire. (essaye de le faire, mais n’y arrive pas)

Frank : Tu sais pas.

Phoebe : En fait, ma mère le faisait, mais pas moi : on n’a pas ça en commun.

Frank : (pause) Ton anniversaire ?

Phoebe : Le 16 février.

Frank : Je connais un type qui est du 18.

Phoebe : C’est presque pareil. (l’air impressionnée) Et toi, c’est quand ?

Frank : Le 25 octobre.

Phoebe : (pause) Le même mois qu’Halloween. (pause) Qu’est-ce que tu aimes faire chez toi ?

Frank : Faire fondre des trucs.

[Scène : Central Perk, Ross travaille sur sa liste de célébrités]

Ross : J’en ai trouvé 3 sur 5.

Rachel : Sur 5 quoi ?

Ross : Les célébrités avec qui je pourrais coucher.

Rachel : Tu y as vraiment mûrement réfléchi.

Ross : C’est pas facile : il m’en reste 2 à trouver.

Chandler : Qui as-tu trouvé ?

Ross : Elizabeth Hurley.

Chandler : Très jolie. Et pas rancunière.

Ross : Susan Sarandon.

Chandler : Elle fait trop de politique : elle te laisserait pas faire avant que tu aies donné 4 boîtes de riz.

Ross : Et Isabella Rossellini.

Chandler : Très belle. Très sexy. Mais ... elle est trop internationale : tu la verras jamais.

Rachel : Et alors ?

Chandler : Mets toutes les chances de ton côté : trouves-en une qui voyage pas.

Rachel : Si tu n’as pas Isabella, ce sera à cause de la géographie.

[Scène : chez Phoebe, Frank fait fondre une cuiller en plastique]

Phoebe : Tu parlais de faire fondre, au sens littéral.

Frank : Ouais.

Phoebe : C’est de l’art ?

Frank : On peut faire fondre l’art. Tu me passes le téléphone ?

Phoebe : Bien sûr. (se lève et fait pour le donner) Tu veux appeler ta mère ?

Frank : Non, je veux le faire fondre.

Phoebe : Pas maintenant. (repose le téléphone) Je vais me coucher. Cette odeur me donne mal à la tête.

Frank : (commence à rire) Oui je sais !

Phoebe : Bonne nuit, petit frère.

Frank : Bonsoir.

Phoebe : Tiens ! (donne à Frank un extincteur) Au cas où.

Frank : Le pied ! (commence à faire fondre le tuyau de l’extincteur)

[Scène : chez Monica et Rachel, Phoebe mange le petit déjeuner avec Monica pendant que Frank imite Bruce Lee sur la terrasse]

Monica : C’est un genre de karaté ?

Phoebe : Pas du tout : il invente.

Monica : Comment ça se passe entre vous ?

Phoebe : C’est plutôt raté : je m’étais imaginée... que ce serait comme toi et Ross, qu’on serait proches et en phase.

Monica : On est proches maintenant. Mais on se chamaillait sans arrêt... on se jetait des bombes, on se crêpait le chignon... (Phoebe secoue sa tête comme si elle n’avait pas compris) On en ressortait avec les cheveux hérissés.

Phoebe : Oh !

Monica : On s’énervait en faisant le singe.

Phoebe : C’est comment, faire le singe ?

Monica : C’est comment, faire le singe ?

Phoebe : Je te le demande.

Monica : Je te le demande.

Phoebe : C’est bon, j’ai pas le temps.

Monica : C’est ça, le jeu.

Phoebe : Tu tiens pas longtemps.

Chandler : (entre dans l’appartement) Où est Joey ?

Monica : Qu’y a-t-il ?

Chandler : Pas grand-chose. (se retourne et sur sa fesse droite de pantalon, est collée un couvercle de pot de vernis) C’est de ma faute : on a l’habitude de ranger le vernis sur le canapé.

Joey : (crie de la salle de bains) Qui peut me passer un carreau ?

Chandler : (regarde Monica) Qu’est-ce qu’il fait là ?

Monica : Il refait le sol. (partent tous les deux vers la salle de bains)

Chandler : Monsieur Miracle ! Lève-toi !

Monica : Tu as commencé, tu vas finir.

Chandler : Il a commencé chez nous.

Phoebe : (prend une autre voix) Construis ce meuble, pose le carrelage, Cendrillonet...

[Scène : chez Phoebe, Frank et elle regardent la télévision]

Frank : Quelle grosse pieuvre !

Phoebe : Oui. (le téléphone sonne et Phoebe répond) (écoute) J’avais complètement oublié. (écoute) Personne d’autre n’est disponible ? (écoute) J’ai de la visite. (écoute) D’accord, c’est pas grave, j’arrive. (raccroche) Je suis désolée, je dois aller travailler. C’est un de mes clients réguliers, il m’attend.

Frank : Tu fais quoi, comme boulot ?

Phoebe : Je suis masseuse : je masse des gens.

Frank : Tu bosses dans un salon de massages ?

Phoebe : Ça s’appelle pas comme ça, mais ça revient au même.

Frank : (commence à rire) Je m’attendais pas à ça.

Phoebe : Bon, je reviens dans un moment. Tu veux venir avec moi ?

Frank : Pour regarder ?

Phoebe : Non, tu pourras te faire masser : ce sera gratuit. C’est fait pour ça, les grandes sœurs.

Frank : Pour ça, ça m’étonnerait.

Phoebe : Je te masserai pas moi-même... ce serait bizarre. Je demanderai à une collègue de te masser. On va bien s’amuser : t’es content ?

Frank : Oh oui ! Monica et Rachel travaillent là-bas ?

[Scène : chez Monica et Rachel, Joey et Monica admirent le nouveau carrelage dans la salle de bains]

Monica : C’est magnifique ! Je n’avais jamais vu de sol carrelé si beau. (Chandler essaye d’aller dans la salle de bains, mais elle le retient) Non, on ne baptise pas mon carrelage !

Chandler : Je n’ai pas le droit de le baptiser ? (part avec Monica)

Ross : (entre dans l’appartement) Salut !

Chandler : Salut ! (profite de l’arrivée de Ross pour entrer dans la salle de bains)

Ross : J’ai fait mon choix et il est définitif. (sors une carte plastifiée)

Rachel : T’auras mis le temps.

Joey : C’est très officiel.

Ross : Chandler me l’a imprimé sur son ordinateur.

Monica : Qui l’a plastifié ?

Ross : C’est moi.

Rachel : Fais voir. (prends la carte et lis) Uma Thurman, Winona Ryder, Elizabeth Hurley... Michelle Pfeiffer... Nanacy Keregan ?

Ross : C’est ma liste !

Rachel : Tu sais qu’elle ne tourne que sur de la glace ?

[Scène : dans le salon où travaille Phoebe, Jasmine, une collègue entre avec Frank dans la salle où se trouve Phoebe, qui attend un client]

Frank : Oh ! Aie !

Phoebe : Que se passe-t-il ?

Frank : Elle m’a cassé le bras !

Jasmine : Il m’a touché les fesses !

Frank : Elle a commencé.

Jasmine : C’est mon travail.

Frank : Comment on fait, alors ? On couche sans se toucher ?

Phoebe et Jasmine : (choquée) Oh !

Phoebe : Tu peux pas faire ça.

Jasmine : Je suis pas une prostituée !

Frank : Vous êtes masseuse : tout va bien, je suis pas flic !

Phoebe : Tu peux demander au client qu’il m’attende 5 minutes ?

Jasmine : Bien. (commence à partir, mais s’adresse à Frank) Je ne veux plus le revoir. (part)

Phoebe : (se retourne sur Frank et le tape) C’est ce que tu pensais que je faisais ? C’est pas ça du tout.

Frank : C’est pas ce que tu fais ?

Phoebe : Tu croyais un truc pareil ?

Frank : J’en sais rien. Tout de même, on est à New York... alors... J’en sais rien.

Phoebe : Enfin bref... C’est la fin idéale d’un week-end idéal !

Frank : Tu as raison. C’était vraiment idéal. Je m’en veux d’avoir tout foutu en l’air.

Phoebe : Vraiment, c’était idéal ?

Frank : C’était peut-être pas idéal... mais c’était vraiment cool : on a eu des discussions géniales.

Phoebe : (essaye de chercher) A quelles discussions tu penses ?

Frank : A celle sur la langue, par exemple. Et aussi quand je t’ai parlé de ce que j’aime. (Phoebe devient confuse et ne suit plus) J’aime faire fondre des trucs et j’aime pas ce qui fond pas.

Phoebe : Oui, ça y est !

Frank : J’ai l’impression que je peux tout te dire... tu es ma sœur.

Phoebe : Je crois que je vois.

Frank : J’ai peloté ta copine et tu t’es fâchée.

Phoebe : J’étais pas complètement furax.

Frank : Tu l’étais un peu, quand même. Je suis vraiment désolé. (touche le bras de Phoebe)

Phoebe : (touche celui de Frank ensuite) Là, c’est mon moment préféré de tout le week-end.

Frank : Maintenant ?

Phoebe : Oui.

Frank : Tu charries : on a trouvé des étoiles de Ninja à Times Square... une pute m’a cassé le bras...

Phoebe : C’est pas une pute.

Frank : C’est ce que je dirai à mes potes.

[Scène : chez Chandler et Joey, tout le monde est là pour aider à mettre en place le meuble]

Chandler : A trois. Un, deux...

Joey : Pourquoi on y va pas à 2 ?

Chandler : Pourquoi à 2 ?

Joey : Parce que ça irait plus vite.

Chandler : J’aurais pu compter 3 au moins 4 fois sans cette discussion !

Rachel : Allez !

Joey : A partir de maintenant...

Ross : C’est lourd et de plus en plus.

Chandler : Un, deux...

Joey : On compte jusqu’à 2 ?

Tous : Bon ça va !

(une fois le meuble mis en place, se révèle un problème et de taille : il est trop long et bloque la moitié des portes des chambres de Chandler et Joey)

Chandler : Beau travail, Joey.

Joey : C’est énorme.

Chandler : Si énorme que nos portes ont l’air minuscules.

Joey : Ma règle est peut-être fausse.

Phoebe : Toutes les règles doivent être fausses.

Joey : (s’approche de Chandler) C’est pas si moche : ça bloque un peu ta porte et un peu la mienne.

Chandler : J’ai une meilleure idée : on dégage ma porte et on bloque la tienne. (se met de son coté et essaye de pousser avec son épaule à lui tout seul le meuble)

Joey : Avant que j’oublie, ce côté n’est pas sec.

[Scène : Central Perk, Rachel sert du café à un client]

Rachel : Je vous apporte donc ... un double mi-déca, mi-café, légèrement noisetté... écrémé, sans mousse, fouetté, super-brûlant, avec du lait. Parfait. (dans sa respiration) Débile ! (pars)

(Isabella Rosselini entre dans le café)

Ross : (s’adresse à Gunther) Merci.

Isabella : (s’adresse à Gunther) Un café à emporter.

(Ross la reconnaît et se dirige vers le sofa en murmurant « Oh my God ! »)

Ross : C’est lsabella Rossellini.

Monica : Déconne pas ! (ils la regardent tous) Mon Dieu !

Ross : Quel idiot ! Pourquoi je l’ai enlevée de ma liste ?

Monica : Parce que sinon, tu te jetterais à l’eau ?

Ross : Peut-être.

Rachel : Menteur.

Ross : (s’adresse à Rachel) Tu me crois pas capable d’y aller ?

Rachel : Tu as mis 10 ans à avouer que je te plaisais !

Ross : Ma cocotte, tu as de la chance que ma liste soit plastifiée.

Rachel : Tu sais quoi, mon trésor ? Vas-y : elle sera la suppléante.

Ross : Garde-moi ça. (lui donne son assiette)

Rachel : mais, je te prie.

Monica : Tu le laisses faire ?

Rachel : Il va draguer lsabella : je regrette de ne pas avoir de pop-corn !

Ross : (s’adresse à Isabella) Je m’appelle Ross. Vous ne me connaissez pas, je suis un de vos admirateurs. Blue Velvet ! Je voulais vous proposer de vous offrir un café... (Gunther luirend la monnaie) ou vous rembourser celui-ci.

Isabella : Vous n’êtes pas avec cette fille, là-bas ? (désigne Rachel)

Ross : Plus ou moins, oui. C’est pas grave, on a un compromis : on a chacun notre liste... (sors la sienne) avec 5 noms de gens célèbres. Vous êtes sur ma liste : j’ai donc le droit de coucher avec vous. (Isabella est surprise) C’est flatteur.

Isabella : (commence à rire et part) Très drôle.

Ross : Attendez... lsabella. Réfléchissez. Ce genre d’occase n’arrive qu’une fois dans la vie.

Isabella : Pour vous ! C’est votre liste ?

Ross : Oui.

Isabella : Je peux la voir ?

Ross : Non.

Isabella : Allez ! (prends la carte des mains de Ross et la lit) Je n’y suis pas !

Ross : Ce n’est pas la version définitive.

Isabella : Elle est plastifiée !

Ross : Vous étiez sur ma liste, mais mon copain, Chandler... (le désigne) nous a fait remarquer que vous êtes internationale. J’ai choisi Winona qui voyage moins.

Isabella : C’est amusant. Moi aussi, j’ai une liste... de 5 crétins qui traînent dans les cafés. Hier, je vous ai rayé de la liste pour mettre ce type, là-bas. (désigne le client exigeant de tout à l’heure et part, Rachel est radieuse quand Ross revient)

Ross : On va rester copains.

Générique de fin

[Scène : chez Chandler et Joey, ils admirent ce que Joey a réalisé]

Joey : Tu sais quoi ?

Chandler : Oui ?

Joey : Je tiendrais là-dedans. (désigne un endroit dans le meuble)

Chandler : Je te parie 5 dollars que tu peux pas.

Joey : Sors ton chéquier, mon vieux. (se lève)

Chandler : Je les ai en liquide.

(Joey entre dans le meuble et Chandler ferme la porte)

Joey : Dommage, t’as perdu : je rentre parfaitement.

Chandler : Tu m’as bien eu. (met un morceau de bois et le place entre les poignées pour que la porte ne s’ouvre plus) T’as gagné les 5 dollars. (met le billet dans la fente des portes) Tiens ! Et zou !

Joey : (prend le billet et Chandler part) Bonjour, Monsieur Lincoln. T’auras ta revanche. (Chandler part et ferme la porte de l’appartement) Je paierai ma tournée.

FIN

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