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10 ans de Friends, l'encyclopédie exhaustive de la série culte. 466 pages.
   
 
Scripts VF saison 3

Scripts saison 3 V.F.
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Liste épisodes

 
 
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    Script Saison 3 Episode 10

Générique

Titre US : The One Where Rachel Quits
Titre FR : Celui qui fait démissionner Rachel

Écrit par Michael Curtis et Gregory S. Malins
Réalisé par Terry Hughes
Transcrit par Eric Aasen
Traduit par Laura Cynober

Fiche détaillée et photos - Titres Saison 3 - Résumé de l'épisode - Script en anglais

Script V.F.

[Scène : Central Perk, Chandler et Rachel sont sur le sofa et Chandler lit un bande dessinée]

Chandler : Pfff...

Rachel : Quoi ?

Chandler : Vu son âge, dans la vie d’un chien... Snoopy n’est pas un peu vieux pour piloter ?

Gunther : Rachel ?

Rachel : Oui ?

Gunther : Tu te souviens de tes deux semaines de formation ?

Rachel : Tu veux que je forme quelqu’un ?

Gunther : Elle est bonne ! Terry veut que tu refasses ce stage... quand tu veux.

Rachel : (incrédule) T’y crois, toi ?

Chandler : (veut dire non dans un premier temps, mais après réflexion)

Générique de début

[Scène : un étage plus bas dans l’immeuble, Sarah, une scout, vend des cookies en faisant du porte à porte]

Sarah : Voilà vos deux boîtes de macarons de Noël et au nom des Jeannettes, je vous salue. (souffle dans un sifflet imitant un bruit d’oiseaux et fait un salut à la fin)

Ross : Avoue-le ! T’as pas de revers !

Chandler : Pardon, mon petiot. J’ai le revers très solide.

Ross : Se couvrir le visage et crier comme une fille... j’appelle pas ça un revers !

Chandler : Je criais... comme un soldat.

Ross : (arrête Chandler dans son élan) Je vais exécuter les 3 « P » d’un match de championnat. Puissance. (montre à Chandler avec sa raquette d’un coté) Précision. (lui montre de l’autre coté) Panache ! (montre un revers lorsqu’il touche Sarah, marchant dans le couloir. Elle crie et les garçons sont en horreur devant elle)

[Scène : Central Perk, Chandler est assis à la petite table, Monica, Phoebe et Ross sont sur le sofa, Rachel est assise sur le coté du sofa et Joey est sur une chaise]

Monica : T’as cassé la jambe d’une gosse ?

Ross : Je culpabilise assez comme ça !

Chandler : Une marionnette de « Sesame Street » s’est fait buter ! Où étais-tu vers 10 h ?

Ross : Je vais aller la voir. Qu’est-ce qui lui plairait ?

Monica : Une poupée qui parle ? La capacité de marcher ? (tout le monde rit sauf Ross)

Rachel : (remarque le regard furieux de Ross) Bon, je retourne en stage.

Ross : A tout à l’heure !

Chandler : (crie à la porte) Sauvez-vous, les mômes !

Joey : Je vais vendre mes sapins.

Phoebe : Amuse-toi bien ! (bois son café) Attends ! Non ! J’oubliais ! Je suis contre, à présent !

Joey : (met son manteau) Contre le fait que je bosse ?

Phoebe : Ça me heurte, ces innocents arbres... coupés dans la fleur de l’âge... et dont on afflige les cadavres... de guirlandes qui clignotent ! Ça t’empêche pas de dormir ?

Joey : C’est lessivant de porter les arbres. (s’agenouille près du sofa et se rapproche ainsi de Phoebe) Faut pas croire ça. Ces sapins poussent exprès pour Noël. Ils accomplissent leur destinée en rendant les gens heureux.

Phoebe : Ah bon ? (regarde Chandler, qui pousse Joey)

Chandler : Et ils sont doublement heureux. Pour beaucoup, c’est la seule... occasion de voir New York.

Gunther : (derrière le bar, instruit Rachel) Après avoir servi, tu mets le plateau...

Rachel : Ca fait 2 ans et demi que je bosse ici ! Je sais que les plateaux vont là ! (désigne un endroit près du bar)

Gunther : Et si tu les mettais là ? (désigne un endroit près de la machine à café)

Rachel : Tu sais que c’est une idée ? C’est plus près des tasses ! Toutes les serveuses devraient le faire !

Gunther : Elles le font. Elles l’appellent le « pose-plateaux ».

Rachel : J’en entendais parler, mais je croyais que c’était une boîte ! Pardon.

Gunther : C’est rien... (Rachel part du bar) mon cœur.

[Scène : dans la chambre de Sarah, Ross est passé lui dire un petit coucou]

Ross :Ça doit être peinard, quand même ! Tu vas pas aller en classe quelques jours... et t’as plus à vendre ces biscuits !

Sarah : J’avais bien envie de les vendre. On peut gagner un séjour au Camp Spatial ... et voir une vraie navette.

Ross : (joue avec une navette) Ça te plaît drôlement, tous ces trucs spatiaux !

Sarah : Mon père dit que si je l’aidais dans ses ménages... autant que je rêve d’espaces galactiques... il pourrait aller au Taj Mahal !

Ross : T’en aurais des ménages à faire pour aller en Inde !

Sarah : Non, à Atlantic City. Papa adore les casinos. Il dit qu’il va doubler l’argent de mon Livret.

Ross : Bonne chance à papa ! Il faudrait vendre combien de boîtes pour gagner ?

Sarah : Celle qui a gagné l’an dernier en avait vendu 475.

Ross : Oui ?

Sarah : Jusque-là, j’en ai vendu 75.

Ross : 400 ? Ça a l’air jouable. (sort et ouvre son portefeuille) Tu les vends combien ?

Sarah : Cinq dollars chaque.

Ross : (le remet tout de suite dans sa poche) C’est quoi, le deuxième prix ?

Sarah : Un vélo dix vitesses. Mais mon père pourrait le vendre.

Ross : Je te comprends.

Sarah : Vous pourriez me rendre service ?

Ross : Ce que tu veux.

Sarah : Vous pouvez ouvrir les rideaux ? Les astronautes vont passer aux infos. Comme on n’a pas la télé, la voisine... va mettre la sienne à la fenêtre.

[Scène : dans le couloir de l’immeuble, Ross a décidé d’aller vendre des cookies comme le faisait Sarah. Il s’approche d’une porte, frappe à une porte d’une vieille dame et on voit ainsi Ross à travers le judas de la porte]

La vieille dame : Oui ?

Ross : Je vends des biscuits de jeannettes.

La vieille dame : Vous êtes pas une jeannette ! Je vous vois par le judas !

Ross : Je suis membre honoraire des jeannettes. (fait le salut des jeannettes)

La vieille dame : Ça veut dire quoi ?

Ross : Que je peux vendre des biscuits mais pas rester pour la nuit. (rit et s’approche de la porte)

La vieille dame : J’ai qu’un bouton à appuyer pour la police. Partez !

Ross : Je vous en prie ! C’est pour une pauvre petite fille... qui veut aller au Camp Spatial !

La vieille dame : J’appuie ! Un policier arrive.

Ross : Bon, j’y vais ! (prend ses cartons et traverse le couloir : il frappe à la porte d’en face)

La vieille dame : Je vous vois encore !

Ross : (se retourne contre la porte et en colère) D’accord ! (quitte le couloir)

[Scène : au travail temporaire de Joey, qui vend des sapins de Noël, Joey essaye de vendre un sapin lorsque Phoebe vient le voir]

Phoebe : Salut !

Joey : T’es là, toi ?

Phoebe : J’ai réfléchi à ce que t’as dit. J’ai peut-être été un peu péremptoire.

Joey : Souviens-toi, Phoebe... C’est Noël, ils comblent leur...

Phoebe : Destinée !

Joey : Oui.

Phoebe : Oui.

Joey : Ok.

Phoebe : (quelqu’un marche avec un sapin triste et marron) Celui-là n’a pas l’air comblé !

Joey : C’est un vieux : il va le mettre à l’écart.

Phoebe : Vous mettez les vieux à l’écart ? C’est du racisme anti-vieux !

Joey : Faut de la place pour les nouveaux.

Phoebe : Qu’advient-il des vieux ?

Joey : On en fait des copeaux.

Phoebe : J’ai comme l’impression que c’est pas rigolo.

[Scène : Central Perk, tout le monde est là, Ross essaye de vendre ses cookies à toute la bande]

Ross : Il y a tous les personnages de Noël. Saint-Nicolas, Lassie et l’enfant Jésus.

Joey : Je prends une boîte de petits jésus à la crème.

Ross : Une seule ? J’essaie de réaliser le rêve d’une gosse ! Je t’inscris pour 5 boîtes.

Chandler : D’accord. T’as des divinités à la noix de coco ?

Ross : Il y en a dans les biscuits de Hanoukka. Je t’en mets huit boîtes. Une par soir. (Chandler murmure un OK) Monica ?

Monica : Je prends des choco-menthe. Une boîte, c’est tout. (s’adresse à Chandler) J’ai grossi quand j’étais jeannette. (s’adresse à Ross) Papa avait acheté toutes mes boîtes et j’avais tout mangé !

Ross : Papa a surtout dû les acheter... parce que t’avais tout mangé ! Mais ça n’arrivera pas, cette fois. Je te mets trois boîtes de choco-menthe et deux de Lassie.

Monica : Non.

Ross : Tu sais bien que tu les veux !

Monica : Fais pas ça !

Ross : Tu sais quoi ? T’as la 1ère boîte gratuite.

Monica : Je dois y aller !

Ross : Tous les jeunes branchés en mangent !

Gunther : Tu verras pourquoi ... on ne laisse pas les araignées coincées sous les tasses.

Rachel : Je dois réapprendre un job que je hais ! C’est officiel, ma vie craint !

Joey : C’était pas temporaire ? Tu voulais bosser dans la mode.

Rachel : Je poursuis toujours cet objectif.

Chandler : Et comment t’y prends-tu, exactement ? A part les CV que t’as envoyés il y a 2 ans ?

Rachel : J’envoie aussi ... de bonnes ondes.

Joey : A mon avis, tant que tu feras ce boulot... rien ne te poussera à en chercher un ! Il te faut la Peur !

Rachel : La Peur ?

Chandler : Si tu démissionnes, ça te motivera pour chercher un boulot qui te plaise.

Rachel : Toi, tu hais ton boulot ! Pourquoi tu pars pas pour avoir la Peur ?

Chandler : (rit avec Joey, mais redeviens très sérieux) Parce que j’ai les chocottes.

Rachel : Je donnerais tout pour bosser avec un styliste ou un acheteur. Je veux pas être encore là à 30 ans !

Chandler : C’est tellement pire que d’être encore à bosser là à 28 ans !

Gunther : Rachel ?

Rachel : Oui ?

Gunther : Je te montrerai aussi quelle est la cafetière de déca.

Rachel : Je peux pas me fier aux poignées ?

Gunther : On pourrait le penser !

Rachel : Ecoute, Gunther : je suis nulle comme serveuse. Et tu sais pourquoi ? Parce que je m’en fous ! Je me fous de savoir si c’est du déca ou pas... et où on range les plateaux ! Je m’en fous ! C’est pas ça que je veux faire. Alors, je devrais plus le faire. Je donne mon préavis.

Gunther : Quoi ?

Rachel : Je démissionne !

Chandler : (s’adresse à Joey) On va se retrouver à payer nos cafés ?

[Scène : chez Monica et Rachel, Ross et Chandler sont dans la cuisine]

Ross : 12... 22... 18... Quoi ?

Chandler : J’ai épelé « Nibards ».

Monica : Mets-m’en une autre de choco-menthe. Y en a plus ?

Ross : J’ai tout vendu.

Monica : Quoi ?

Ross : Monica, je te sèvre.

Monica : Juste une ou deux boîtes ! C’est pas grave, je suis cool ! Mais dépanne-moi d’une boîte !

Ross : T’as des miettes jusque dans le cou !

Monica : Oh ! (repart dans la salle de bains)

Chandler : Combien t’en as vendues ?

Ross : Regarde-moi ça ! 517 boîtes !

Chandler : Comment t’as fait ?

Ross : L’autre soir, j’ai quitté le musée... au moment où les gens sortaient du show Laser Pink Floyd. J’ai vendu 50 boîtes, les doigts dans le nez ! J’ai eu une idée : la clé du succès, c’est les en-cas ! Alors je suis allé à la Cité U vers minuit. J’y vends mes biscuits à la pelle ! En me voyant, ils crient « Biscuit-man ! »

Rachel : Arrêtez tout. J’ai besoin de lécheurs de timbres.

Ross : Qui t’a tapé ces CV ?

Chandler : Moi, sur mon ordinateur.

Ross : T’as pris une grosse police !

Chandler : « Serveuse dans un café »... et « capitaine des pom-pom girls », ça remplissait pas.

Rachel : Très drôle ! T’es un petit marrant, Chandler ! Et tu sais ce qui est aussi marrant ?

Chandler : J’ai dit autre chose ?

Rachel : Je sais pas ! Tu m’as pas dit de démissionner... alors que je n’avais rien d’autre ?

Ross : Calme-toi, ça va aller.

Rachel : Non, ça va pas aller ! Demain, c’est mon dernier jour... et j’ai rien en vue ! Je vais appeler Gunther... et lui dire que je reste.

Chandler : Tu ne veux pas céder à la Peur ?

Rachel : Toi et ta Peur à la noix ! Je déteste ta Peur ! Je vous prendrais tous les deux...

Joey : Bonnes nouvelles !

Chandler : Sauve-toi ! Sauve ta peau !

Joey : T’as entendu parler de Fortunata Fashions ?

Rachel : Non.

Joey : Mon vieux y fait la plomberie. Ils cherchent quelqu’un. Tu veux un entretien ?

Rachel : Je serais ravie ! C’est si gentil !

Joey : Pas de problème. Maintenant, la bonne nouvelle...

Rachel : C’était pas ça, la nouvelle ?

Joey : Et ça, c’est pas mieux ? De la fausse neige ! Ca vient du boulot. Je décore la fenêtre... façon « nuit de Noël » ?

Monica : Biscuits de Noël ?

[Scène : au travail de Joey, Joey essaye de faire une vente]

Joey : Et ça, c’est un sapin de Douglas. Il est plus cher, mais ça sent bien meilleur.

Le client : Je le prends.

Phoebe : (venant de derrière, avec un sapin mort) C’est pas celui-là que vous voulez ! Prenez le marron, il est sympa. (Phoebe le présente façon « le Juste Prix »)

Le client : Il est presque mort !

Phoebe : Alors, il faut l’acheter ! Pour qu’il comble sa destinée. Sinon, ils en font des copeaux ! Dis-lui !

Joey : Les arbres qui n’accomplissent pas leur destinée... on en fait des copeaux.

Le client : Je crois que je vais continuer à regarder.

Joey : Arrête ! Je bosse à la commission !

Monica : Salut.

Joey : Salut.

Monica : Je viens chercher mon sapin.

Phoebe : Ne cherche plus. Celui-ci est à toi ! (présente de nouveau le sapin mort)

Monica : C’est celui que j’ai jeté l’an dernier ?

Phoebe : Laissez tomber ! Tout le monde en veut un vert.Je suis désolée. Je me suis laissée gagner par l’émotion. C’est dur, les fêtes.

Monica : Parce que ta maman est morte à Noël ?

Phoebe : Je ne pensais même pas à ça.

Monica : (regarde Joey, qui lui fait signe et un sourire sarcatisque)

[Scène : à la réunion des Jeannettes, Ross et Charla, une autre jeannette sont assis l’un à coté de l’autre]

Ross : Combien t’en as vendu ?

Charla : Je te le dirai pas ! T’as fait du mal à Sarah !

Ross : C’était un accident !

Charla : Gros screude !

Ross : C’est quoi, ça ?

Charla : Regarde-toi dans une glace, screude !

Ross : Pas la peine, j’ai qu’à te regarder ! (il s’assit, fier de lui)

La femme : Les filles... et monsieur... Voyons vos scores ! Debbie ? 321 boîtes de biscuits ! C’est bien !

Ross : Mais pas assez !

La femme : Charla, 278. C’est bien quand même.

Ross : Bien pour une screude !

La femme : Elisabeth, 871 !

Ross : Vous déconnez... (tout le monde le regarde) sœur Jeannette. Bon boulot ! (fait le salut des Jeannettes)

La femme : A qui ? (marche vers Ross qui fait un peu son malin)

Ross : Coucou !

La femme : Et, remplaçant Sarah... Ross Geller. 872. Mais on dirait que vous en avez acheté beaucoup vous-même !

Ross : Mon médecin a diagnostiqué chez moi ... tous les symptômes... vis-à-vis du nougat... d’une grave carence.

[Scène : Central Perk, Phoebe et Ross sont assis sur le sofa, Chandler est sur une chaise]

Chandler : Raconte, Jeannot !

Ross : J’ai perdu. Une gosse a prêté sa tenue à sa sœur de 19 ans... pour aller sur le navire Nimitz, où elle a vendu plus de 2 000 boîtes ! (Rachel revient de son entretien) Alors, cet entretien ?

Rachel : Je l’ai foiré ! Je ne me serais même pas embauchée !

Ross : Viens là. T’auras mille entretiens avant de décrocher un job ! C’est pas ce que je voulais faire passer.

Phoebe : C’est le pire des Noëls !

Chandler : Tu devrais peut-être rester bosser ici .

Rachel : C’est trop tard ! Terry a déjà engagé la fille, là-bas ! (désigne la nouvelle serveuse au bar) Regardez ! Elle a même de l’expérience comme serveuse. Hier, elle leur... montrait à tous comment plier... les serviettes... en forme de... (personne ne comprend ses derniers mots)

Ross : (s’adresse à Chandler et à Phoebe) Le mot était « cygnes ».

[Scène : dans le couloir, Phoebe, Chandler, Ross et Rachel reviennent]

Chandler : Voir le père Noël bourré se pisser dessus, ça m’a ragaillardi !

[Scène : chez Monica et Rachel, Monica et Joey ont décoré pendant leur absence l’appartement de vieux sapins marrons et tristes]

Phoebe : Doux Jésus !

Joey ET Monica : Joyeux Noël !

Phoebe : Vous êtes trop !

Chandler : On dirait La nuit des sapins zombies.

(le téléphone sonne et Rachel répond)

Rachel : (décroche) C’est elle-même. Vous plaisantez ? Merci ! Je vous adore !

Chandler : On raffole tous des plaisantins.

Rachel : Je suis prise !

Tous : Joyeux Noël !!!

Phoebe : Dieu nous bénisse tous !

[Scène : Central Perk, tout le monde est là pour le dernier jour de travail de Rachel]

Rachel : Voilà, c’est le dernier café que je sers ! (apporte une tasse à Chandler : et Ross chante un air) Tiens... profites-en !

(Tout le monde applaudit)

Chandler : (doucement, s’adresse à Ross) Je lui dis que je voulais un thé ?

Ross et Joey : Non. Non.

Rachel : S’il vous plaît ? C’est mon dernier jour de travail . Je voulais dire... que je me suis fait de bons amis ici ... et qu’il est temps d’aller de l’avant. (Gunther commence à pleurer et part) Sans vexer ceux qui travaillent encore ici ... vous ne pouvez pas savoir comme c’est bon de dire... que désormais... je n’aurai jamais plus à faire le café !

[Scène : chez Fortunata Fashions, le nouveau travail de Rachel, Rachel apprend une mauvaise surprise]

Mr Kaplan Jr : M. Kaplan Senior aime le café fort. Mettez bien deux doses au lieu d’une. Là, ça devient délicat. Certains n’utilisent les filtres qu’une fois...

Générique de fin

[Scène : devant l’appartement de Chandler et Joey, Ross marche avec Sarah, qui a toujours ses béquilles]

Ross : T’as pas pu voir le Camp Spatial ... mais j’ai voulu essayer de rattraper le coup. Voici donc... le camp spatial privé rien qu’à Sarah Tuddle !

(Ross ouvre la porte et Chandler et Joey sont excités de faire voir à Sarah le camp spatial qu’ils ont créé dans leur appartement : fauteuil recouvert de papier aluminium, des ballons représentant les planètes... tout pour rendre Sarah heureuse]

Sarah : Vous n’étiez pas obligé !

Ross : Entre ! C’est parti ! (prend Sarah dans ses bras et la pose dans le fauteuil) Attention au décompte pour le décollage !

Joey : (prend une autre voix) 10... 9... 8... (Chandler frappe Joey d’impatience) Mise à feu ! (ils commencent à secouer le fauteuil et à faire beaucoup de bruits. Ross fait du bruit comme s’il tenait un ballon de football dans ses mains)

Chandler : Je suis un extra-terrestre !

Ross : Gare aux astéroïdes ! (Fais tomber un astéroide sur la tete de Joey et Sarah rit

FIN

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